Ingrédients cosmétiques à éviter : comment les repérer ?

On adore cet effet peau de pêche et ce teint lumineux après un gommage enzymatique. Cette sensation prouve que notre cosmétique est efficace et interagit bien avec notre peau. Il est donc légitime, de s'assurer également que tout ce qui touche notre épiderme soit sûr pour notre santé. Si vous avez cliqué sur cet article, c'est que quelques doutes persistent sur les formules skincare que vous utilisez, ou que vous cherchez à repérer les ingrédients cosmétiques à éviter. Préparer vos captures d’écran, Slood vous embarque dans sa chasse aux substances nocives, cachées dans les cosmétiques conventionnels !

Pourquoi certains produits cosmétiques sont dangereux ?

Parce qu'ils veulent votre peau !

Les ingrédients bons ou mauvais interagissent avec notre peau, nos cellules et notre organisme. Ainsi, si les actifs agissent sur les échanges et le renouvellement cellulaire, les ingrédients nocifs pénètrent également notre barrière cutanée et déséquilibrent notre peau. Les agents irritants ou allergisants, comme les conservateurs, les ingrédients pétrochimiques et synthétiques forcent quotidiennement votre peau à se :

● réparer ou s’apaiser ; 

● purifier ;

● rééquilibrer ou reconstruire sa flore cutanée. 

Sur le long terme, elles entraînent une faiblesse cutanée, une fatigue de la régénération cellulaire, un déséquilibre du microbiome, une sensibilité accrue et un vieillissement prématuré.

Certaines substances dangereuses atteignent également notre circulation sanguine comme les perturbateurs endocriniens, les PFAS et les phtalates. Ils altèrent notre système hormonal, s’accumulent dans les organes, augmentent le risque de cancers, d’infertilité et de maladies comme Alzheimer.

Parce qu’ils sont dangereux pour la planète

Nos cosmétiques interagissent non seulement avec notre corps, mais aussi avec les écosystèmes. Les ingrédients pétrochimiques et synthétiques, (silicones), sont énergivores, hydrovores, non-biodégradables et ont une empreinte carbone énorme. Ils polluent nos eaux, étouffent la faune et la flore. De plus, la production intensive de certains ingrédients végétaux, #huile de palme, entraîne la déforestation et la perte de biodiversité. 

Parce qu’ils sont difficiles à reconnaître

Les industriels du greenwashing l’ont bien compris : un consommateur averti est un acheteur en moins ! Homosalate (filtre UV), acide parahydroxybenzoïque (alias paraben) et autres noms chimiques illisibles sont difficiles à mémoriser et à repérer sur les listes INCI. Malheureusement, la liste des ingrédients cosmétiques à éviter est longue. D’autres comme les PFAS, les phtalates issus du contenant, ou encore les pesticides se diffusent dans les produits, sans être indiqués sur la liste INCI. Ce manque de transparence flagrant, vous expose malgré vous à une accumulation de substances dangereuses.

Parce que la réglementation ne protège pas suffisamment le consommateur 

Aujourd'hui, scientifiques, législateurs, consommateurs et industriels sont conscients des risques pour la santé et l'environnement. Bien que la réglementation européenne évolue, limite ou interdit certaines substances dangereuses, elle reste en retard sous la pression des lobbies :

● autorisation de faibles doses d’ingrédients reconnus cancérigènes ou perturbateurs endocriniens (triclosan) ;

● retard pour s’adapter aux nouvelles preuves scientifiques ;

● accord de délai (plusieurs années) aux industriels pour ajuster leurs formules (PFAS interdit pour 2026).

Parce que l’accumulation des substances toxiques de votre routine beauté n’est pas prise en compte

Voici une simulation d'une routine d'hygiène basique, sans excès, pour un enfant avec des cosmétiques traditionnels contenant des ingrédients cosmétiques à éviter. Chaque jour, il utilisera :

● un savon pour les mains (3 fois/jour) ;

● un soin lavant pour le visage (1-2 fois/jour) ;

● un shampoing (3 fois/semaine) ;

● un gel douche/savon (1 fois/jour) ;

● un dentifrice (2 fois/jour).

Avec seulement ces 5 produits, il dépassera la dose autorisée de conservateurs antimicrobiens. De plus, il sera exposé à une dose inconnue de phtalates et PFAS libérés par les conditionnements plastiques. On voit bien que l'accumulation de ces substances toxiques est incontrôlable si elles ne sont pas bannies des formules et des conditionnements. Pour autant, cette surexposition d’ingrédients est peu prise en compte par la législation cosmétique et complètement ignorée par les industries conventionnelles. C’est pourquoi, repérer ces matières toxiques et adopter de nouveaux réflexes de consommation, limitent, voire stoppent, cette surexposition.

La liste des ingrédients cosmétiques dangereux : ils n’auront pas votre peau !

Conservateurs antimicrobiens synthétiques

🧴 À quoi servent-ils ? 

Ces molécules préservent votre soin de toute contamination microbienne. Elles empêchent la prolifération de bactéries et des champignons. Elles garantissent le respect de la date de péremption et la période d’utilisation après ouverture. 

⛔Pourquoi faut-il fuir les parabens ? 

Selon le centre de lutte contre le cancer Léon Berard, les parabens seraient : 

● des perturbateurs endocriniens ;

● l’un des facteurs dans l’obésité des enfants ;

● des allergisants cutanés, reconnus par l’ANSM.

👉 Où les retrouve-t-on ?

Malheureusement, ils sont dans la plupart des produits cosmétiques, même dans les produits destinés aux nourrissons et aux enfants (lingette, dentifrice). 

🧐Comment les démasquer sur l’emballage ?

Ils sont faciles à reconnaître dans la liste INCI. Ils se terminent par paraben : 

● ethylparaben ;

● methylparaben ; 

● butylparaben de sodium ;

● propylparaben de sodium.

⛔Pourquoi faut-il les fuir le phénoxyéthanol ? 

Cet éther de glycol est trop agressif pour l’épiderme. Il est :

● irritant et allergisant (démangeaisons, rougeurs et eczéma) ;

● soupçonné d’impacter négativement la fertilité ;

● irritant pour les poumons par inhalation ;

● toxique pour le foie.

👉 Où les retrouve-t-on ?

Souvent utilisé pour remplacer son homologue du paraben, il squate tous les produits de beauté, soins hydratant, déodorant, désinfectants pour les mains, parfums, et même mascara !

🧐Comment le démasquer sur l’emballage ?

Les phénoxyéthanol, est plus rarement connu sous les noms de 2-Phy-Et ou phénoxétol.

👍Quelles alternatives naturelles pour les conservateurs antimicrobiens ? 

Les huiles essentielles, l’alcool bio offrent les mêmes propriétés que ces conservateurs synthétiques, mais sans leurs côtés nocifs.

SLS, SLES : les sulfates

🧴À quoi servent-ils ?

Ce sont des molécules synthétiques ou naturelles. Elles permettent de stabiliser une émulsion (crèmes, sérums) pour qu’elle ne déphase pas. Dans les produits d'hygiène, ils nettoient, grâce à leur pouvoir détergent, la peau et les cheveux. Ils offrent un pouvoir moussant au produit.

⛔Pourquoi faut-il les fuir ? 

● Le sodium lauryl sulfate (SLS) et l’ammonium lauryl sulfate (ALS), sont naturels et acceptés en cosmétique bio. Mais ils sont critiqués pour leur forte affinité avec les lipides de votre peau. Ils causent des sécheresses et des irritations.

● SLES (sodium laureth sulfate) est soupçonné d’être cancérigène.

🌍Les SLS et ALS sont biodégradables, issus de la nature et obtenus par des procédés de chimie verte. Ils ne sont pas toxiques pour nos écosystèmes. 

En revanche, il ne faut pas les confondre avec d'autres comme le SLES, qui est issu d’un procédé très polluant (éthoxylation). 

Remarque : le Sodium Cocoyl Isethionate (SCI) est un exemple parfait du greenwashing. Souvent présent dans les cosmétiques solides, il est présenté comme un ingrédient doux et une alternative green aux tensio-actifs sulfatés. Il est interdit par les labels bio. Les industriels oublient souvent d’expliquer que sa fabrication passe par l’éthoxylation.

👉 Où les retrouve-t-on ?

Dans de nombreux produits détergents : shampoing, dentifrice, nettoyant visage et gels douche.

🧐Comment les démasquer sur l’emballage ?

Ils ne se camouflent pas et conservent leurs noms chimiques.

👍Quelles sont les alternatives naturelles aux tensio-actifs sulfatés ? 

Les savons surgras bio sont d’excellentes alternatives. D’autres solutions moins sensorielles, moins moussantes, mais tout aussi efficaces existent comme :

● sodium Lauroyl Glutamate ;

● disodium Cocoylglutamate ;

● decyl glucoside ;

● lauryl glucoside.

Les huiles minérales et silicones, dérivés pétrochimiques ultra-polluants

🧴À quoi servent-ils ?

Les huiles minérales sont des substances pétrochimiques dérivées du pétrole ! Oui, c’est choquant de s’appliquer du pétrole (filtré et purifié) sur la peau. Les silicones sont des polymères inorganiques constitués de silicium et d’oxygène. Multifonctions, ces substances pétrochimiques sont :

● d’excellents conditionneurs de cheveux (gainage et brillance) ;

● des agents filmogènes, épaississants, qui améliorent l’aspect et la texture de tous les soins ;  

● utilisées par les grandes marques de parapharmacie, pour leur capacité à retenir l’eau dans la peau (anti-déshydratation). 

⛔Pourquoi faut-il les fuir ? 

Les huiles minérales, bien qu'efficaces, utilisées en trop grande quantité obstruent les pores, étouffent la peau et créent des imperfections. Elles sont aussi accusées d’irriter l’épiderme. Pour autant, elles ne sont pas considérées comme dangereuses par la réglementation cosmétique ni par la majorité des scientifiques pour une application cutanée. Cependant, une étude réalisée sur des rats suggère qu'une fois ingérées, elles pourraient provoquer des tumeurs au foie. Bien que trop grosses pour pénétrer la peau, ces huiles composent de nombreux baumes et rouges à lèvres, quotidiennement avalés en petite quantité par les utilisateurs. Miam ! 

Les silicones ne sont pas dangereux pour la santé. C’est une matière stable qui ne pénètre pas l’épiderme. Elle va plutôt avoir tendance à étouffer le cheveu ou le cil, le rendre lourd et cassant. De la même manière, il peut étouffer la peau et créer des imperfections. 

🌍 Énergivores et hydrovores, le plus gros problème, avec ces substances, reste la pollution environnementale et le gaspillage de ressources naturelles nécessaires pour filtrer le pétrole en huiles ou cires minérales. Elles sont non-biodégradables et s’accumulent donc dans les eaux et dans nos terres.

🧐Comment les démasquer sur l’emballage ? C'est le moment du Screenshot

● Les huiles et cires minérales sont connues sous les noms de Vaseline, petrolatum, Cera Microcristallina ,Ozokerite, Mineral oil, Ceresin.

● Les silicones sont nombreux :

○ cyclomethicone ;

○ cyclopentasiloxane ; 

○ cyclohexasiloxane ;

○ trisiloxane ;

○ dimethicone ;

○ dimethicone copolyol ;

○ aminodimethicone ;

○ dimethiconol ;

○ dimethicone crosspolymer ;

○ vinyl dimethicone crosspolymer ; 

○ trimethysiloxysilicate ; 

○ polypropylsilsesquioxane. 

👉Où les trouve-t-on ? Partout !

● les baumes et rouges à lèvres ;

● les crèmes, les sérums, les baumes, masque capillaires ;

● les cires d’épilations ; 

● les produits d’hygiène, après-shampoings, gels douche, etc.

👍Quelles alternatives naturelles aux silicones et aux huiles minérales ? 

Selon le rôle du cosmétique et la texture souhaitée, le formulateur reproduit leurs propriétés filmogènes et antidéshydratation grâce aux huiles, aux beurres, aux cires et aux gommes végétales. Les humectants comme la glycérine, les sucres, l'aloès vera permettent d’attirer l’eau dans l’épiderme pour conserver l’humidité de la peau. Bref, la nature ne manque pas d’alternative, hydratante et nutritive.

Les PFAS

🧴À quoi servent-ils ?

Ce sont des polluants éternels inventés par l’homme pour rendre résistant à la chaleur et à l’eau un ustensile ou un produit. Ces substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées sont utilisées en cosmétiques pour rendre le maquillage waterproof ou améliorer la tenue de la couleur.  

⛔Pourquoi faut-il les fuir ? 

Elles s’accumulent dans l’organisme préférentiellement dans le sang et les organes.

Voici leurs effets négatifs : 

● perturbateur endocrinien ; 

● cancérigène ;

● effet sur le système immunitaire entraînant des allergies et l’asthme ;

● baisse de la fertilité ;

● impact sur le système nerveux (autisme, hyperactivité).

🌍Ce sont des fléaux pour la nature, car comme leur nom de « polluant éternel » l’indique,  les PFAS se dégradent peu dans nos écosystèmes. Ils s’accumulent dans les eaux, le sol et l’air.

🧐Comment les démasquer sur l’emballage ?

Voici quelques noms de PFAS volontairement intégrés (autorisés jusqu’en 2026) dans la formulation :

● PFTE ;

● Perfluorodecalin ;

● Perfluorononyl dimeticone ;

● Perfluorohexane.

👉Où les trouve-t-on ? 

Au nombre de 10 000, les PFAS sont intégrés volontairement dans les poudres de maquillage, de mascaras, de fond de teint, soins anti-âge, vernis à ongles, les soins capillaires ou gels pour cheveux. Mais, ils sont potentiellement dans tous les produits conditionnés dans des matériaux plastiques non biosourcés. Ils se diffusent, alors, dans la préparation du cosmétique.

👍Quelles alternatives naturelles aux PFAS ? 

Le compte à rebours est lancé pour les PFAS. Le gouvernement français a voté leur interdiction pour le 1er janvier 2026. Seules quelques exceptions persisteront, ils seront autorisés s’il n’existe aucune alternative efficace pour les remplacer. Heureusement, les alternatives naturelles existent :  

● l’huile d’argan ;

● le beurre de karité ;

● le stereate de magnésium pour les produits résistant à l’eau.

Les phtalates, ingrédients cosmétiques à éviter d’urgence

🧴À quoi servent-ils ?

En cosmétique, ces plastifiants sont utilisés comme agents fixateurs, filmogènes ou pour faire briller les cheveux. 

⛔Pourquoi faut-il les fuir ?

Selon différentes études in-vitro et animales, les phtalates sont accusés : 

● de détruire les cellules cutanées kératinocytes et fibroblastes (producteurs de collagène), bonjour le vieillissement prématuré de la peau ;

● d’impacter négativement, la fertilité, le développement du fœtus et du nouveau-né ; 

● d’être des allergisants ;

● d’être des perturbateurs endocriniens ;

● et pour bien remplir la pochette-surprise du phtalate, l’ECHA (Agence Européenne des Produits Chimiques) les classe comme cancérogènes, reprotoxiques et mutagènes (CRM). 

🌍Côté environnement, les phtalates sont malheureusement partout. Ils ont contaminé, nos sols agricoles et urbains, nos eaux fluviales, notre air intérieur et extérieur. 

👉Où les trouve-t-on ?

Il est souvent utilisé comme dénaturant d’alcool pour les parfums, mais aussi dans les soins capillaires, les shampoings et le maquillage. Les phtalates sont autorisés dans de nombreuses autres industries et se retrouvent dans la plupart des revêtements plastiques et encres. Potentiellement, les produits de beauté avec des conditionnements plastiques peuvent donc être contaminés. 

🧐Comment les démasquer sur l’emballage ?

Le seul autorisé en cosmétique est le DEP, le phtalate de diéthyle.

👍Quelles alternatives naturelles aux phtalates ? 

● Côté formulations, des dérivés d’huiles végétales (soja,  ricin), d’esters d’acides gras insaturés sont en cours de développement.

● Côté conditionnement, les matériaux en verre, en carton avec des encres végétales vous assurent des contenants sans phtalate.

Les filtres U.V. chimiques

Ces molécules chimiques absorbent les UV pour vous préserver des effets néfastes du soleil. Ils sont reconnus comme perturbateurs endocriniens, toxiques pour la santé et l’environnement. Pour tout savoir sur les filtres organiques de vos crèmes solaires, consultez notre dossier sur l’octocrylène et ses petits copains.

Slood & la chasse aux ingrédients dangereux des cosmétiques 

Pourquoi se mettre en danger lorsque les ingrédients dangereux de la cosmétique possèdent une ou plusieurs alternatives naturelles, saines et efficaces ? Le combat peut sembler perdu, mais le consommateur n'a jamais été aussi sensibilisé et en quête de solutions naturelles. La beauté verte, malgré les slogans marketing du greenwashing est devenue la seule tendance durable et fiable.

En parallèle, de nombreux acteurs luttent, à vos côtés, pour faire évoluer la réglementation, promouvoir les marques bio et naturelles. Des labels comme Cosmébio, Cosmos Organic, Nature et Progrès, Slow Cosmétique valorisent les formules avec des ingrédients cosmétiques bio. Ils interdisent les PFAS, les phtalates et les perturbateurs endocriniens. Sans label, privilégiez les compositions courtes, faciles à déchiffrer et naturelles. Les noms de vos alliés beauté sont : beurre de mangue, huile d'argan, gel d'aloe vera, huile de noisette, glycérine, etc. D’autres organismes comme 60 millions de consommateurs, UFC que choisir réalisent des enquêtes poussées, pour vous alerter sur les produits à éviter. Des applications comme QuelCosmetic et Skin Deep analysent les formules pour vous guider.

Et bien sûr notre marketplace Slood, l’endroit idéal pour dénicher, en un seul clic, vos pépites de la cosmétique bio et naturelles. Une plateforme pensée pour faciliter la consommation responsable, sans prise de tête, saine et ludique. Nous n’attendons pas que la réglementation passe à l’action pour bannir les polluants de notre vie quotidienne et de votre skincare. 

Le combat avance à grand pas : en tant qu'acheteur averti, vous avez le pouvoir de contrer le greenwashing. Le succès et l'expansion des marques bio prouvent que l’écoconsommation pousse l'industrie conventionnelle et la législation vers une naturalité totale. Investir dans les produits bio et écologiques élimine doucement, mais assurément les substances nocives de notre routine beauté, de notre environnement et du futur de nos enfants.

Les conseils pour se prémunir :

● toujours lire la liste des ingrédients ; 

● privilégier les labels de la cosmétique bio et naturelle (cosmébio, cosmosorganic, nature et progrès) ;

● ne pas vous fier uniquement au packaging (greenwashing) ;

● privilégier des listes d’ingrédients courts et compréhensibles ;

● tenez compte du rapport qualité/prix ;

● renseignez-vous sur les valeurs de l’entreprise ;

● télécharger des applications qui décryptent la liste de vos ingrédients.

👉 Ou déléguez toutes ces tâches à Slood, comme de nombreux consommateurs ! 😉

Sources : 

Dr. Kültiğin ÇAVUŞOĞLU, Dr. Emine YALÇIN, Dr. Kültiğin ÇAVUŞOĞLU. The Potential Risk Assessment of Phenoxyethanol with a Versatile Model System : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6985251/

Masahiro Sugino, Tomomi Hatanaka, Hiroaki Todo, Yuko Mashimo, Takamasa Suzuki, Miho Kobayashi, Osamu Hosoya, Hideto Jinno, Kazuhiko Juni, Kenji Sugibayashi. Safety evaluation of dermal exposure to phthalates: Metabolism-dependent percutaneous absorption : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28506834/

UFC Que Choisir. Prudence confirmée pour le phénoxyéthanol : https://www.quechoisir.org/actualite-ingredients-indesirables-dans-les-cosmetiques-prudence-confirmee-pour-le-phenoxyethanol-n55493/

Cosmébio. Les sulfates : sont-ils autorisés dans les cosmétiques bio ? : https://www.cosmebio.org/fr/nos-dossiers/2017-05-11-sulfates-cosmetiques-bio/

Romane MULTON. Université Paris Descares. Les phtalates : une problématique de santé publique et environnementale https://reseau-environnement-sante.fr/wp-content/uploads/2021/03/Romane-Multon-Rapport-de-stage-.pdf